Le Village Vacances Valcartier, c’est le royaume de l’été. Glissades, soleil, plaisir en rafale, un lieu qui vibre à 100 décibels et qui carbure à la bonne humeur. Sa clientèle ? Majoritairement des familles et des jeunes en quête de sensations fortes… et de glissades trépidantes. Pour accompagner cette effervescence, il fallait une direction graphique à la hauteur : colorée, joyeuse, assumée. Notre mandat ? Injecter une dose de fraîcheur dans les supports visuels du site. Créer des outils qui attirent l’œil, suscitent l’envie, et s’harmonisent avec l’univers éclaté du parc.
L’équipe nous a confié la refonte visuelle de plusieurs éléments clés de l’expérience estivale. D’abord, une campagne publicitaire pour les autobus et les panneaux routiers, à la fois rythmée, colorée et résolument estivale, puis un menu de crèmerie revampé dans un style confiserie, avec des couleurs vives et une touche ludique. Ensuite, des bouteilles promotionnelles au design éclatant, pensées pour rayonner bien au-delà du site et de l’affichage sur le site du Village vacances Valcartier.
Créer un langage visuel festif
On a misé sur des teintes franches, des contrastes assumés et des motifs graphiques évoquant l’univers de la friandise et des vacances. Chaque visuel devait donner envie de plonger… ou de croquer.
Unifier l’expérience sur le site
Du menu à la bouteille, en passant par les abris, les visuels partagent une même signature colorée. Résultat : une expérience cohérente, reconnaissable, et hautement instagrammable.
Miser sur l’impact immédiat
En contexte promotionnel, surtout sur les réseaux sociaux, chaque seconde compte. La publicité a donc été conçue pour capter l’attention dès le premier regard, avec une animation rythmée, un message clair et un visuel accrocheur.
S’ancrer dans le plaisir de l’instant
Tous les outils ont été pensés comme des prolongements de l’expérience sur place. On ne vend pas juste un produit ou un service, mais un moment de pur plaisir. Un projet vitaminé qui prouve que le design aussi peut faire des vagues.
